Essai de navigation à voile aurique sur le BOREAL, début mars, pas encore le printemps, mais presque.
D’abord, finition couture au chantier.




image rare sur l’étang.
Photos envoyées par Joël
Essai de navigation à voile aurique sur le BOREAL, début mars, pas encore le printemps, mais presque.
D’abord, finition couture au chantier.
image rare sur l’étang.
Photos envoyées par Joël
La voilà avec ses mousquetaires
Présentation de l’Evidence, blessée
Attente de la décision…
Le 1er commandement, tu restaureras.
Le sang coule, le pacte est conclu.
Do not disturb !
Pendant ce temps, Jac et Mich élaborent.
Bernard prépare une réception.
Et Joël ajuste les c. de chat et un petit banc pour sa prochaine expé dans le Grand Nord, bon vent, comme dirait le regretté George Pernoud.
Et tout le monde veut sa part de gloire car il a de nouveaux gréements dont une voile aurique et un bel encornât…
et moi je suis la Reine, je bois mon « tea », et plus…
Merci aux copains du Barrou de leur présence et au paparazzi Eric pour le scoop de la Reine !
Mais avec distance !
Très grande distance !
« GacedeFrance » s’est échoué aux Iles Malouines ou Falkland mais est vite reparti, et au loin c’est « RoyVoileLatine » de Roger, en haut à gauche…
Vérification faite, Gilles est bien là, ici et maintenant !
Pierre poursuit la restauration de la nacelle, il ponce, passe le mélange de minium et mastic,
mais pas seul, Nelly est revenue et décape.
François est sur les 2 fronts,
sur son nuage, il a noyé son tube d’étambot dans le brai
et posé le support du moteur.
Keskispass ? jouerait il de la flûte tel un moine tibétain ? ?
ça rappelle quelque chose, il travaille aussi sur le færing, avec un modèle norvégien,
ça y est tout est clair,
c’est l’encornât, l’espar aurique, en forme de fourche à 2 dents…
il y a toujours du nouveau, des compétences méconnues,
Sabine s’apprête à opérer…
les futurs vaccinés
rajout de Roger et son bateau ! !
janvier 2021
De quoi parlent ils sous le regard dubitatif de Nuage ?
R. : je suis 300000 ème et j’ai passé THE Cap Horn !!
G. : moi aussi … sur 10000000 (?), enfin 1 million ! !
OK, les gars, redescendons du nuage et revenons à la réalité : le travail quotidien dans le froid et… réfugié dans l’atelier.
l’arbre pour installer le futur moteur : ce qui ressemble à du papier de chocolat, c’est pour que le brai accroche mieux, qu’on se le dise !
et le mât trop épais, a été raboté, et est prêt à être mis à l’essai
ailleurs… Que vient faire ce doigt pédagogique dans la poulie, au dessus du réa ?
c’est la place du cordage, d’où le trou excentré, élémentaire, mon joël cher !
et merci pour les couilles de chat, pour faire coulisser la voile autour du mât !
ne pas oublier de faire un voeu pour que nous reviennent nos chers « apprentis »
E. amène son boulet de moules pour l’apéro,
attendu avec impatience par Rémi S.
S. en rajoute dans l’attente,
oui c’est bien de la grappa pour nous réchauffer apportée par I. !
et bien sûr les « en-cas » conséquents de C.
il ne reste plus qu’à ramasser les seiches échouées !
Bon appétit et BONNE ANNEE 2021, meilleure que 2020 siouplait !!!
Les adhérents masqués
mais pas que, le bateau de François aussi
décapage du pont
merci Maryvonne
et puis un modeste charpentier arrive pour voir où en est le chantier, il vient de Narbonne, restaure un bateau boeuf, l’Espérance, ( il faut aller le voir) …, et une goélette mailhorquine…Yann Pajot lui même, total respect. Nous sommes trés contents de lui montrer l’Albatros,
ainsi que le Loud en restauration.
Son chantier naval se trouve au Domaine du Grand Madirac sur le canal de la Robine
Continuation de la restauration de « Attends moi j’arrive »,
de « Nuage »,
et d’ « Albatros »,
et le nouveau pont avant sur le « Loud »
et Léo nous apporte du bois d’olivier de Nyons
pour restaurer l’étrave du Loud
les sphinx veillent !
et le paquet-cadeau de Noël se prépare
Photos de Marie-O et Léo
Grand merci et bon vent…les Voiles Latines éternellement reconnaissantes !
Photos de Jacques et Marie-O
Alexandre et Vincent sont tous deux en formation au Chantier-école « Skol Ar Mor » à Mesquer (Loire Atlantique). Ce centre est l’un des deux qui forment en France des charpentiers de marine traditionnelle. Dans le cadre de leur formation, tous les élèves doivent effectuer chaque année six semaines de stage hors école. Alexandre et Vincent ont l’un et l’autre choisi de passer trois semaines au chantier de la Plagette, encadrés par des bénévoles de l’association « Voile latine de Sète et du Bassin de Thau ».
Tous deux ont de solides motivations, bien au-delà du projet de construire et restaurer des bateaux traditionnels. Vivre dans le domaine des bateaux, voyager et travailler avec son bateau, naviguer et tout cela dans le respect de la tradition. L’un voulait être plongeur, l’autre était machiniste de théâtre (du bois et des cordages, comme sur un bateau !).
Venir à Sète, à la Plagette, dernier chantier naval traditionnel, c’est découvrir un autre patrimoine, méditerranéen, différent de celui que côtoient nos stagiaires en Bretagne. C’est se familiariser avec des modes de construction inconnus. C’est partager des expériences avec des bénévoles passionnés. C’est découvrir de nouveaux bateaux, pointus à la poupe et à la proue ! C’est se familiariser avec d’autres gréements.
Quelle surprise pour Alexandre et Vincent, en travaillant sur le Loud, de découvrir des varangues, des membrures, un étambot, une étrave, tous taillés dans du bois d’olivier. Il est vrai que le Loud, ce bateau traditionnel de travail de 10,60 m de longs, avec ses deux mâts, nous vient de Tunisie.
C’est une grande satisfaction pour Sète, pour le chantier de la Plagette, pour « Voile latine de Sète et du Bassin de Thau » d’être reconnus par nos amis bretons qui s’investissent massivement pour leur patrimoine en nous confiant deux de leurs élèves. Alexandre et Vincent ont été adoptés par les bénévoles de l’association et seront toujours les bienvenus à Sète et à la Plagette.
Bernard PELLAT
Bertrand Serre vient de construire dans son garage à Montgenèvre une véritable nacelle de l’étang de Thau !
Il a été inspiré par un article de notre Blog « À la recherche des Amadiés pour une nacelle à Bouzigues ». Il a trouvé un mode d’emploi pour la construction sur notre Site, « Fabrication d’une nacelle avec André Aversa », et il s’est lancé ! …
N’ayant jamais construit de bateau, il a contacté Guy Brouet et s’est procuré son livre sur la construction de Thétis qui fourmille de détails très concrets et très utiles pour tout apprenti charpentier de marine.
Toute la charpente, ainsi que le gréement et les avirons, sont en bois massif local, mélèze, pin sylvestre et pin à crochets (pin suffit), récoltés sur chablis dans les bois de Mongenèvre, le bordage est en pin du Granon, fourni par une scierie de la vallée de la Clarée.
Pour résoudre quelques petites appréhensions il a suffit de correspondre par mail.
Notamment pour le calfatage des bordés
Tout s’est bien passé et à la fin de l’été 2020 …
Les premiers essais de mise à l’eau sont réalisés sur un petit lac en face de chez lui afin de tester la flottabilité de l’embarcation, ainsi que sa stabilité.
Serait-elle pas un peu jalouse ?
Puis c’est le grand jour !
Le 8 octobre Arturo a navigué « pour de vrai » sur le lac de Serre Ponçon, pas top pour une première… des rafales à 17 noeuds ! mais le capitaine en a vu d’autres !
Photos de Bertrand et de Joël pour les fers à calfat !