2013 – India (5/5)
Un grand merci à Mili et Patrice pour leurs belles photos !
Dubai : à 20 km au port de Sharjah en février 2013 ,
des boutres (ou dhows)
naviguant :
à quai : « l’Al Bukhari »
du nom d’un penseur persan du Xème siècle né à Boukhara.
travail de calfatage :
détails :
proues et poupes :
et nasses :
poupe neuve:
réparations des bordés et entretien :
pour protéger le bois , on badigeonnait la coque avec une pâte , « sall » , mélange de sardine et d’huile de foie de requin .
pavois sculptés :
rambardes colorées:
ancres :
et l’impressionnant safran-gouvernail !
Les boutres, sans leurs voiles, motorisés, sont toujours en service, soit comme chalutiers soit comme cargos.
Panorama : pêche et nasses
accueil de deux pêcheurs :
cascade de nasses :
fabrication de nasses :
légèreté :
Pourquoi rouge ?
On teintait les filets chez nous de cette couleur !
il lutte contre la pollution :
repos : jeu de karom
Après la pêche :
Comme les pêcheurs, les dockers viennent souvent d’Inde et du Pakistan :
Les grues au travail :
voitures :
sacs :
câbles, pneus, …
et chargement à la main :
déchargement des containers de … Chine !
partout des boutres et marchandises de toutes sortes :
repos :
le capitaine veille (?)
Le boutres ont une si grande importance qu’on les retrouve sur les billets :
et le patrimoine maritime est mis en valeur dans le splendide musée de Sharja.
à l’extérieur :
à l’intérieur, vue générale :
une vieille photo d’un « cheval de trait du Golfe » :
photo d’un boutre abandonné :
les boutres ont longtemps servi à la pêche et au commerce des perles :
maquette d’un petit boutre :
maquette d’un grand boutre :
« shasha » : barque en branches de palmiers :
photo d’un vieux chantier : charpentiers sciant une pièce pour l’étrave :
matériaux de construction :
clous, chanvre et résine, …
fers à calfat :
scies et herminettes :
chignoles …
instruments de navigation :
astrolabes : inventés par les Grecs, fabriqués et utilisés par les Arabes du Xème au XVIème siècle :
et le « kamal » encore plus ancien :
il mesurait l’altitude de l’étoile polaire qui était utilisée pour déterminer la latitude :
Le marin tenait un planchette trouée, le bas au niveau de l’horizon. Il tenait avec les dents un bout à noeuds espacés régulièrement. Il élevait la planchette jusqu’à ce que le haut soit au niveau de l’étoile . Il déterminait la latitude en comptant le nombre de noeuds passés.
La navigation à la voile latine perdure dans des régates de grands boutres de compétition
organisées à Dubai …
Laisser un commentaire